jeudi 29 novembre 2007

Istitutional Mexican sound en espagnol por favor

Du dub, un peu de cha cha et du sprinkled ‘spoken word’ mexicain, voilà ce que donne Mexican Institute of Sound. La trompette, le violoncelle, la harpe, le piano, la guitarra y mas instruments sont les vedettes sur Pinata, le tout dernier album du D.J Mexicain et producteur Camilo Lara a.k.a Mexican Institue of Sound. Parfois jazzé, parfois pop, parfois hip-hop, Pinata est une fusion senssssssssual (prononcé en espagnol bien evidemment!) de rythmes latins qui réchauffent l’âme. Pas de samba ici, ni de meringué, c’est en somme de l’électro-latino. Ça se danse très, très bien et alimente une soirée, un party même, comme le fait la baguette de la fée des neiges aux Galeries d’Anjou.

La pièce Para No Vivir Desesperado est très envoutante (ma favorite), Katia, Tania, Paulina Y La Kim propose une harpe et des sons de cloches qui me rappellent que Noël arrive, La Kebradita est un peu slamé, un peu rapé sur un fond parsemé de synthétiseurs et A Girl Like You met en vedette du violoncelle et le beatbox de Pat C., un des collaborateurs de Camilo avec Holger Beier. Treize pièces remplient d’échantillonnages de folk Mexicain et Latin, y compris Belludita, la seule pièce de l’album qui offre quelque chose de très électro, mais qui ne dure que seulement 56 secondes. Par contre, Mi Negra A Bailal (on pourrait croire que Ghislain Poirier est d’influence) fesse dans l’dash!

Pinata je reccomande pour voyager dans un Mexique électro-acoustique sans même quitter le sol.


2 commentaires:

Anonyme a dit...

I Love you!

Anonyme a dit...

merci pour intiresny Dieu