Euf! Euf! Mizing ing contexting bitte…(Wolfgang est un robot, c’est le multi millionnaire William Jennings Wellworth qui l’a créer au début des années 80. Il voulu créer un robot possible d’émotions humaines et de créations musicales; des méga hits New Wave. Mais le robot Wolfgang n’est jamais parvenue à le faire. Wellworth a donc tout perdu sa fortune et sa réputation. Et vingt-cinq ans plus tard, Wolfgang le robot fut retrouvé par des activistes voulant empêcher le Wellworth Electronics Factory d’être détruit pour faire place à des condos luxueux. Après un changement de batterie et nettoyage, Wolfgang est redevenu opérationnel. Et pour la première fois, le robot a eu un sentiment pour celui qui la sauvé des décombres; l’amourrrrr. C’est à partir de ce moment que Wolfgang se mit a composer de la music comme son créateur l’avait tant voulu.)
The Wicked Truth About Loving a Man est en quelque sorte le deuxième album de Wolfgang (Le premier est un EP de quatre titres intitulé Not In Love (Not True)). C’est définitivement (definitely, yes, def, definitely) influencer des Flock of Seagulls, Falco (Amadeus-Wolfgang…un lien? Pentoute!), Human League, Eurythmics, Depèche Mode, Visage, et j’en passe…mais le tout est 100% électro, 100% sans voix humaine; mais 100% remplie d’émotions. Les beats sont excellents, pas aussi dansable que du techno ou de la musique maison (Merci Dan Edmunds, merci!), mais quand même très entrainants. La voix m’énerve un peu. Pour l’apprécier pleinement il faudrait que je fasse un shuffle avec New Order et Les Pet Shop Boys, question d’empêcher des tiques nerveux de se développer. Ma favorite, Battery; on dirait Peaches meets Pizzicato Five, ok très large, mais monte le son pis écoute attentivement.
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